L’économie a ceci de particulier qu’elle cherche à mettre une valeur au regard de chaque dimension de l’anthropocène.
Corolairement, chaque action de chaque acteur a nécessairement des incidences. Ces incidences touchent tout ce qui entoure ces acteurs sans contrôle ni ségrégation. Elles peuvent être objectives comme subjectives, quantitatives comme qualitatives, positives comme négatives.
Sur ce dernier point on parlera alors « d’externalité négative ».
Toutes et tous, nous percevons au quotidien ces externalités, avec notre propre sensibilité et notre propre échelle de valeurs. S’il n’est pas possible de lister l’ensemble des externalités négatives, il en existe quelques-unes que nous subissons tous, telles que la pollution atmosphérique ou bien le bruit.
Sur ce dernier exemple, les illustrations pullulent : Une maison trop proche de la route, des étudiants qui font la fête dans l’appartement du dessus, un marteau-piqueur de chantier, un collègue qui n’utilise pas un casque pour sa visio, un passager de train qui fait profiter toute la rame de sa musique, etc…
Dans une étude, l’Ademe chiffre ainsi le coût social du bruit (qui, en schématisant, représente la somme des conséquences économiques de ces désagréments) à 155 700 000 000 euros par an en France.
Mais alors, que faire de cette valeur ?
Tout d’abord, comme le bruit ne fait pas l’objet d’une transaction de marché, il n’est pas compensé et le coût social permet d’objectiver de donner une valeur à cette externalité.
Oui, mais concrètement ?
En mesurant le coût social d’une externalité négative, on peut légitimer l’allocation de ressources financières (publiques comme privées, via des politiques publiques) pour réduire cette externalité négative. Le résultat étant un gain général pour la société (pour 1€ dépensé, le coût social diminuera de >1€).
Au delà de ces considérations, vous avez, dès aujourd’hui, la possibilité de commander des places de cinéma.
As usual, le tarif est de 4 € par billet, dans la limite de 10 par amicaliste.
Pour ce faire, rien de plus simple, téléchargez le bon de commande (en cliquant ici) et rapportez le avec votre règlement, à Bruno (321).
Les réseaux concernés sont Cinéville, Cinéchèque, Gaumont-Pathé, Kinépolis, UGC, et CGR.
Date limite de commande : Jeudi 5 octobre (16h01 heure locale)
Pour connaitre le nom du réseau de cinémas près de chez vous cliquer ici !
